Ces dernières temps, la sortie du jeu Codenames dans l’univers de HP (Harry Potter) a suscité de vifs débats, en France comme à l’international. La tribune parue dans nos colonnes dernièrement s’inscrivait dans ce contexte, interrogeant notamment la responsabilité des acteurs culturels face aux actions juridiques transphobes de J.K. Rowling, financées via un fonds privé, par la licence. Face aux critiques reçues, CGE reconnaît désormais que ce projet a pu causer de la douleur, présentent des excuses claires et réaffirment que les droits des personnes trans sont des droits humains.
CGE reversera 100 % des bénéfices du jeu (au moins l’équivalent des frais de licence) à des associations de soutien aux personnes trans. Ces associations seront choisies avec la communauté, en privilégiant celles qui apportent une aide directe et pratique. Une prise de position rare dans le monde du jeu de société, qui lie reconnaissance des torts et engagement concret.
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